Ca pique ! Et ça mord ?

Anthony évoque la motivation qu’il faut montrer pour continuer à pratiquer notre passion tout au long de l’année. A la saison froide, la nuit précoce et les températures testent vraiment l’individu.

« L’hiver arrive aux portes de nos biwies, accompagné de son lot de déconvenues. Pourtant, à cette période au niveau de l’approche, tout est plus simple. Pas de souci de quantité d’appât à mettre ou non au fond de l’eau. Les empêcheurs de pêcher en rond sont moins présents (chats, écrevisses, poissons blancs…). Les glacières sont toujours fraîches !

Cette période nous demande juste plus de capacité psychologique, ou de folie… Tout dépend à quelle distance on se trouve du poêle à bois. Celui qui reste au chaud chez lui trouvera qu’il faut être fou pour être dehors sous des température négatives. Tandis que l’autre qui est dehors sous son biwy trouve qu’il faut être très fort psychologiquement pour être au bord de l’eau. Accepter de vivre recroquevillé sous son biwy toute la journée, de ne voir la luminosité du jour que quelque heure, de se battre contre le froid, l’humidité… Il faut être très passionné ou très Islandais lol. Que dire des heures de capots qui peuvent s’empiler ?
Mais si la chance vous accompagne dans vos sorties, vous aurez droit à de beaux cadeaux au pied de votre épuisette. Le carpiste hivernal n’est pas un surhomme, il est juste plus givré que les autres, c’est tout.

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