Dis, pourquoi tu pêches (fin)

Anthony nous gratifie d’un poème pour terminer sa réflexion sur tout ce qui nous anime dans la pratique de notre passion.

« Quelque soit le lieu nous sommes la pour elle.
Toutes ces heures passées au bord de l’eau,
A espérer, à rêver, à imaginer toujours plus beau.
Les sources de notre passion sont intarissables,
Avec une multitude de paramètres incontrôlables.
Trop de choses à vivre, de rencontres à faire ,
Nous poussent sans cesse à changer d’air.
Mais que de questions, de désillusions , de sacrifices
Cela que l’on soient chevronné ou novice.
Passion enivrante, aveuglante, débordante
Mais qui toujours nous hante.

Nos proches, nos familles que l’on délaissent
Ne comprennent pas ce qui nous obsède.
C’est un peu comme tenu en laisse,
Que l’on vit cette vie, je vous le concède.
Rarement animé par la raison
Au grès des quatre saisons
C’est notre bulle d’oxygène
Que l’on veut vivre sens gène,
Ce besoin omniprésent de liberté
Que certains cherchent à nous limiter.
Que voulez vous le sang qui coule
dans nos veines ce prénome passion.
Au final peut importe si les foules
ne comprennent pas nos actions.
Notre passion ne s’explique pas elle se vit. »

[masterslider alias= »hiki-poeme »]

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